Le Dr Julien Rogier est responsable de la coordination d’organes et de tissus au CHU de Bordeaux ; il réalise dans ce replay un état des lieux des dons et transplantations d'organes ; il évoque l'impact du COVID sur l'activité de transplantations et greffes ; il décrit les différents types de dons (donneur vivant, donneur décédé), ainsi que les différents enjeux éthiques associés.

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« Donner et recevoir » : en 2021, plus de 20 000 personnes sont en attente d'une transplantation d'organes. Ce chiffre s'est considérablement accru, en raison de la crise du Covid-19, qui a désorganisé les hôpitaux. En France, tout le monde peut être concerné par une défaillance terminale d'organes.

Chaque citoyen est donneur présumé après son décès, sauf s'il y est opposé de son vivant sur le Registre national des refus.
Le don peut s'effectuer aussi dans certains cas de son vivant, dans un cadre législatif très strict.
"L'année 2021 a vu également la promulgation des nouvelles lois de bioéthique. Il est important que ces informations soient diffusées au plus grand nombre, puisque nous sommes tous concernés, tant sur le versant du don que celui de la greffe, qui sont des symboles importants de notre citoyenneté" (source : CHU de Bordeaux).

Plus d'information sur le site de l'Agence de la biomédecine.